Lisa est une étudiante de 22 ans qui souffre d’électrosensibilité depuis 2017. Alors qu’elle était « une étudiante comme les autres » son intolérance aux ondes s’est développée petit à petit avec des maux de tête de plus en plus importants et des difficultés de concentration.
Comment a-t-elle découvert sa maladie ?
C’est un jour où elle ne souffrait pas qu’elle a découvert d’où venait ce mal être progressif.
« Je me suis demandé pourquoi je n’avais pas mal, et je me suis rendu compte que la borne wifi juste au-dessus de l’ordinateur était éteinte. J’ai découvert que c’était lié. J’ai commencé à faire des recherches et me suis rendue compte que je n’étais pas la seule. » témoigne Lisa.
A son entrée à la fac de Lyon, la situation devient invivable entre les maux de tête, les troubles du sommeil et la difficulté à se concentrer et les évanouissements. Elle décide donc de consulter le docteur Rafalovitch. Elle obtient un certificat auprès de ce médecin qui lui a fait des tests à l’aveugle. Malgré les demandes à ses camarades pour éteindre leur wifi pendant les cours, certains ne jouaient pas le jeu.
Elle quitte Lyon pour la campagne
C’est en 2019 qu’elle décide de quitter Lyon car « ce n’étais plus tenable ». La jeune étudiante retourne vivre chez ses parents au bord du lac Léman, un lieux préservé des ondes.
« Ma santé physique s’améliorait, mais pas ma santé mentale. Je déprimais d’être chez mes parents, alors que je voulais vivre ma vie, retourner à Lyon. J’adorais cette ville et la vie étudiante, sortir, être avec mes amis et suivre des cours… J’ai dû tout abandonner et retourner chez mes parents. » témoigne Lisa
Un « voile anti-ondes »
Lisa achète un voile anti-onde d’une valeur de 70€.
« Quand je le mets, je ne sens plus rien. Je suis à nouveau moi-même. Les inconvénients, c’est qu’il faut faire attention à ne pas le froisser, que ce n’est pas très joli, que c’est fragile. Je n’aime pas me faire remarquer et quand je porte ça sur la tête en ville, tout le monde se retourne et se moque. » dit-elle.
Mais en portant ce voile, elle peut à nouveau vivre normalement et voyager. « Petit à petit, je me suis remise à sortir et à accepter qu’on me regarde bizarrement. »
L’électrosensibilité, une maladie non reconnue par l’OMS
L’OMS et l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) reconnaissent les souffrances ressenties par les personnes qui se définissent victime d’hyper-sensibilité électromagnétique (HSE). Cependant, « aucune étude ne prouve réellement » le lien de causalité entre les ondes électromagnétiques et ces symptômes.
L’électrosensibilité est parfois décrite comme « la maladie imaginaire du XXIe siècle »
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